Numéro des Cimetières militaires à proximité

Imposant cimetière militaire américain WW1 et WW2, situé aux portes de Paris, dans un magnifique cadre de verdure, de végétations diverses et variées, des massifs de fleurs de toutes beautés , une pelouse tondue à la perfection, d’une propreté exceptionnelle, facile d’accès, à visiter absolument pour ne jamais oublier...

Ce cimetière fut créé en 1917 par le "Graves Registration Service" et inauguré en 1919. Il est un véritable lieu de mémoire d'une superficie de trois hectares, et est le seul d'Europe à associer les deux guerres mondiales. Magnifiquement entretenu ce cimetière est un splendide lieu de repos pour tous ces soldats qui firent le sacrifice de leurs vies pour notre liberté. Respect.

Lieu incontournable de mémoire et de partage à Suresnes, au pied du Mont Valérien.

Très émouvant .les guides sont très sympa .ils nous ont fait participer a la levée du drapeau et son pliage après la sonnerie aux morts ....très très émouvant. Nous y étions avant la fermeture du cimetière

Seul cimetière abritant des tombes des deux guerres mondiales. Les tombes américaines sont bien entretenues et constamment nettoyées. Les croix sont en marbre bien qu'il y ait aussi des tombeaux avec l'étoile de David. L'entrée est gratuite et bien qu'il n'y ait pas de parking, il est facile de se garer à proximité.

Beau cimetière bien entretenu. Très paisible.

Un lieu pour se souvenir de centaines de jeunes morts pour une raison qui ne devrait plus se reproduire. L'endroit est bien entretenu et peut être visité à tout moment. Il y a aussi un monument aux soldats américains tombés à la Bourse de Colmar à côté de la nécropole.

Impressionnant. Beaucoup ont été tués de manière insensée. Ceci est encore démontré ici

Site incontournable du chemin des Dames.

Site discret pré d' un croisement

Organisation de cérémonie

Caporal Camille Taillandier, 31ième Bataillon de Chasseurs à Pied, mort pour la France le 4 octobre 1918. Dors bien Tonton! La place de la tombe est un peu incertaine. Photos d'Alain Stecher.